QUI BAISE QUI ? [2/2]
Garde à vue. Il ne nous est pas décrit – et c’est regrettable ça nous aurait fait rire un peu – la tête de Ramzi quand dans son cerveau...
Chronique obscène, révoltée, lyrique, blasphème, irrévérencieuse – poétique en somme –,
(et tristement la seule)
du PROCÈS DE L'ATTENTAT DU 14 JUILLET 2016 à NICE.
(Paris, 2022)
Les commentaires sont désormais ouverts.